Nouveau couac à Biarritz : le conseil de surveillance aurait jeté l’éponge

En désaccord profond avec la direction du club, le président du conseil de surveillance et ses quatre membres ont annoncé leur démission collective, plongeant le Biarritz Olympique dans une nouvelle crise interne.
À peine plus d'un an et demi après avoir repris le Biarritz olympique, Shaun Hegarty va quitter le navire. Le président du conseil de surveillance a annoncé son départ aux différents acteurs du club, ce jeudi 16 octobre. Photo : Loic Cousin/Icon Sport
À peine plus d'un an et demi après avoir repris le Biarritz olympique, Shaun Hegarty va quitter le navire. Le président du conseil de surveillance a annoncé son départ aux différents acteurs du club, ce jeudi 16 octobre. Photo : Loic Cousin/Icon Sport

Nouveau couac à Biarritz : le conseil de surveillance aurait jeté l’éponge

En désaccord profond avec la direction du club, le président du conseil de surveillance et ses quatre membres ont annoncé leur démission collective, plongeant le Biarritz Olympique dans une nouvelle crise interne.

En désaccord profond avec la direction du club, le président du conseil de surveillance et ses quatre membres ont annoncé leur démission collective, plongeant le Biarritz Olympique dans une nouvelle crise interne.

Une, une de plus. Une nouvelle onde de choc sur la côte basque : Shaun Hegarty, président du conseil de surveillance, a annoncé ce jeudi 16 octobre sa démission, dénonçant des divergences irréconciliables avec la gouvernance actuelle du Biarritz Olympique. Quatre autres membres ont immédiatement suivi, affirmant leur soutien à sa décision et coupant les ponts avec le projet en place.

Dans un communiqué adressé aux actionnaires et supporters, relayé par Rugbyrama, Hegarty évoque “des choix qui ne sont plus les miens” et des “divergences de fond” rendant impossible la poursuite de ses fonctions. Il pointe le “manque de confiance” et un éloignement des valeurs qui l’ont animé dans ses engagements au sein du club.

Les membres démissionnaires – Marc Baget, Pierre Fraidenraich, Marie-Baptiste Duhart et Arnaud Labedan – expliquent qu’ils ne peuvent plus cautionner le cap adopté. Ils assurent néanmoins qu’ils resteront “au soutien du BO… pour la défense de ses couleurs, de son âme, de son identité”.

Ce départ collectif intervient dans un contexte déjà tendu pour le club basque, confronté à des enjeux sportifs et financiers depuis de longs mois. Un départ qui ouvre une énième période d’incertitudes.

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